AssociationCharlotte Mathieu Adam
Association de victimes de violences routières

Tous ensemble pour que les choses changent
Actualités nationales

Un maire excédé se lâche sur un panneau : "Il reste des enfants à écraser, vous pouvez accélérer"
Publié le 05/03/2015
Si c'est une des solutions à prendre pour enfin faire changer les comportements routiers et nous responsabiliser, pourquoi pas! Association Charlotte Mathieu Adam
"Il reste encore des enfants à écraser, vous pouvez accélérer." Non, le maire de Bretenières (Côte-d'Or) n'est pas un dangereux psychopathe. Hervé Bruyère est simplement excédé de voir filer les voitures à toute allure dans sa commune. Il a donc décidé de manier l'ironie pour faire baisser la vitesse. "Nous avons choisi la communication plutôt que l'information", explique-t-il à francetv info, confirmant une information du Bien public (article abonnés). "C'est de l'humour, oui, certains diraient de l'humour noir. D'ailleurs, certains administrés m'ont demandé des explications."
La commune est traversée par une longue ligne droite d'un kilomètre environ. "Les automobilistes roulent parfois à 70, 80 km/h ! Le village est calme, mais j'ai vu plusieurs accidents évités de justesse."Cette ancienne départementale a été reprise en voirie communale, mais les gens du coin semblent tout aussi pressés que les automobilistes de passage. Avant cela, la commune a tout tenté. "La limite est passée de 50 km/h à 30 km/h, sans effet. On a répété de faire attention dans le bulletin municipal, on a implanté des dos d'âne au niveau de l'école, on a instauré des priorités à droite sur les rues adjacentes. Mais rien, ou presque."
Fabien Magnenou - francetvinfo

Hesdin : Stéphanie, décédée dimanche dans un accident de la route, revenait d’un concert
publié le 03/03/2015
Dimanche matin, un accident de la route a coûté la vie a une Hesdinoise de 38 ans. Le drame s’est noué vers 6 h 20 ce matin-là, sur la RD939 dans le sens Saint-Pol – Hesdin à hauteur de la commune de Pierremont dans le Ternois.
Stéphanie Domergue, mère de trois enfants, se trouvait sur le siège passager d’une voiture qui a été percutée par un monospace, dont le conducteur était alcoolisé. Son mari, souffrant de légères bessures, avait lui été transféré au centre hospitalier d’Arras.
Avec son époux, elle revenait d’un concert du chanteur Keen’V à Coucy-lès-Eppes, près de Laon (Aisne). L’artiste a d’ailleurs rendu hommage à Stéphanie sur sa page Facebook : «Pour ma part, je promets d’interpréter et de lui dédier la chanson Explique-moi durant le Saltimbanque Tour (nom de la tournée du chanteur, NDLR). »
Une collecte organisée par le groupe Collectif Métissé
Le groupe Collectif Métissé, dont Stéphanie était également fan, a lui aussi rendu hommage à l’Hesdinoise sur sa page Facebook, soulignant la « gentillesse inégalable » de Stéphanie ainsi que son mari François et ses trois garçons. Le groupe y indique également qu’il va lancer une collecte de soutien à la famille.
Par ailleurs, Stéphanie Domergue était connue aussi pour son engagement bénévole auprès de la Croix Rouge à Hesdin.
Ce dimanche, le conducteur du monospace, un homme de 24 ans originaire de Croix-en-Ternois, a été placé en garde à vue. D’après les premiers éléments de l’enquête menée par les gendarmes d’Arras, il aurait refusé une priorité en s’insérant sur la RD939.
Cette enquête est toujours en cours et le jeune homme, soupçonné d’avoir conduit sous l’empire de l’alcool, a dû se soumettre à une analyse de sang. Il a été remis en liberté, dans l’attente des résultats, qui seront connus d’ici quelques jours.
CYRIL MASUREL ET ÉLODIE ADJOUDJ (avec J.-L. M. et P. L., CLP) - LA VOIX DU NORD.fr

Accident mortel à Mattaincourt : ivre, la conductrice placée en garde à vue
Publié le 03/03/2015
La conductrice de 26 ans qui a percuté un autre véhicule dimanche soir tuant une fillette et sa grand-mère et blessant gravement la maman conductrice était ivre et sous l'emprise de stupéfiants selon Remiremontinfo.fr. Elle a été placée en garde-à-vue pour homicides et blessures involontaires.
La conductrice de 26 ans qui a percuté un autre véhicule dimanche soir tuant une fillette et sa grand-mère et blessant gravement la maman était ivre.
Elle aurait également été sous l'emprise de stupéfiants selon Remiremontinfo.fr.
Selon les premiers éléments recueillis par les gendarmes, la conductrice se serait endormie au volant et se serait déportée sur la voie opposée, ce qui vient expliquer l'absence de trace de freinage avant l'impact et la vitesse de la collision entre les deux véhicules.
Malgré ses blessures, le pronostic vital de la maman de la fillette n'est pas engagé.
La jeune femme a été placée en garde-à-vue et devrait être mis en exament pour homicides et blessures involontaires.
Par Jean-Christophe Dupuis-Remond - France3 Lorraine
Accident mortel à Pierremont sur la RD939, un jeune placé en garde à vue
Publié le 02/03/2015
Un homme de 24 ans, originaire de Croix-en-Ternois, a été placé en garde à vue suite à l’accident qui a coûté la vie d’une femme de 39 ans, originaire d’Hesdin, ce dimanche matin sur la RD 939, à hauteur de Pierremont.
D’après les premiers éléments de l’enquête, le jeune homme aurait grillé une priorité en s’insérant sur la RD939 et a percuté violemment une voiture, qui circulait sur l’axe Saint-Pol - Hesdin. Le dépistage d’alcoolémie s’est révélé positif. Des analyses complémentaires ont été demandées.
Les pompiers de Saint-Pol et de Frévent ont découvert, à leur arrivée ce matin vers 6 h 30 à l’intersection entre Pierremont et la RD939, un monospace et un véhicule léger gravement accidentés. Ils n’ont malheureusement rien pu faire pour sauver la passagère de la voiture, Stéphanie Domergue, une Hesdinoise de 38 ans, mère de trois enfants. Elle est décédée sur place. Son mari, ainsi que les deux occupants du monospace, blessés légers, ont été pris en charge avant d’être conduits au centre hospitalier d’Arras.
La circulation a été rétablie peu après 9 heures. Les deux véhicules ont été retirés par le garage Auto Service 2000.
Le conducteur du monospace, un homme de 24 ans originaire de Croix-en-Ternois, a depuis été placé en garde à vue. Le dépistage d’alcoolémie pratiqué par les gendarmes s’est révélé positif. Une information toutefois à prendre avec des pincettes : une prise de sang a été demandée en complément, pour confirmer ou non l’alcoolémie et révéler un taux.
L’enquête de la brigade motorisée d’Arras (BMO) se poursuit pour établir les circonstances exactes de l’accident.
THOMAS BOURGOIS ET JEAN-LOUIS MUNIER (CLP) - LA VOIX DU NORD.fr

Agé de 14 ans, le chauffard blesse quatre policiers
A Valence, le jeune homme déjà connu des services de police, conduisait une voiture volée et a refusé le contrôle routier.
Un adolescent de 14 ans, conduisant une voiture volée, a blessé quatre policiers qui voulaient l'interpeller à Valence.
Placé en garde à vue immédiatement après les faits survenus vendredi soir, l'adolescent déjà connu des services de police, faisait l'objet lundi après-midi, d'une présentation devant un magistrat valentinois.
Que s'est-il passé?
Repéré en compagnie de deux autres personnes, à bord d'une voiture qui venait d'être volée à quelques kilomètres de Valence, l'adolescent a d'abord refusé un contrôle de police avant d'avoir un accident. Profitant de l'immobilisation de la voiture, les policiers drômois ont alors voulu procéder à l'interpellation des suspects mais le véhicule a redémarré.
Quatre fonctionnaires qui se trouvaient pour partie dans l'habitacle, ont alors été blessés. Souffrant notamment de coupures, ils ont fait l'objet d'incapacité temporaire de travail (ITT) de trois et neuf jours pour les deux premiers et six jours pour les deux autres.
Le jeune chauffard a été interpellé quelques minutes après dans le hall de son immeuble tandis que ses deux comparses ont réussi à prendre la fuite.
Le 15 février, dans la Drôme, un adolescent de 14 ans, roulant à bord d'une voiture volée, avait mortellement percuté un platane en tentant d'échapper à un contrôle de police.
Par LEXPRESS.fr avec AFP

Adolescente tuée dans un accident de voiture en Gironde : son jeune chauffeur écroué
Publié le 21/02/2015
Le 8 décembre 2013, une adolescente est décédée dans un accident de voiture. Le conducteur avait bu, fumé et roulait vite. Il a été condamné à trois ans de prison
«Ça va très bien mon papa. » Le texto est daté de 0 h 45, le 8 décembre 2013. Conclu par un smiley, il contient les derniers mots d'Amandine à son père. À 6 h 47, elle n'a pas répondu à son SMS inquiet de ne pas la voir de retour. À 7 h 01, il apprenait son décès dans un accident de la route survenu à Lanton.
Le conducteur du véhicule à bord duquel elle avait pris place était jugé vendredi pour homicide involontaire par le tribunal correctionnel de Bordeaux. Ce soir-là, il avait bu de la vodka, fumé des joints et roulait trop vite. À 120 km/h au lieu de 50.
Il se pensait en état de conduire
En plein milieu d'une courbe, la Mercedes a quitté la route, percuté un mur et fini sa course contre une rambarde de pont. Passagère avant, Amandine, 17 ans, est décédée sur le coup. Le conducteur et les deux autres passagers ont été grièvement blessés.
Raccroché à la barre, Michaël Baleste, 24 ans, ne sait pas, ne comprend pas, esquive, pleurniche, essuie ses larmes d'un revers de manche de blouson. Il en pinçait pour Amandine. A-t-il voulu l'impressionner au volant de son puissant véhicule ? Il se pensait en état de conduire, évoque une plaque de verglas ou de gazole sur la chaussée.
Il baisse les yeux devant les clichés qui montrent l'état du véhicule après le choc. « Depuis ce jour, je me sens coupable. C'est dur de se dire que tout le monde vous fait confiance et qu'en cinq secondes plus personne ne vous parle. » « Je n'ai pas revu ma fille », témoigne, tremblant, le père d'Amandine. Il garde en tête l'image des gyrophares, des secours. « Elle n'a pas fêté ses 18 ans, ni son bac qu'elle espérait avoir avec mention. Cette vie volée, ça aurait pu être évité. »
« Roulette russe »
« La conduite du prévenu a fait un mort et beaucoup de blessés », plaide Me Didier Leick, un des avocats de la partie civile. Il ne parle pas seulement de l'art de piloter. « L'accident est un événement fortuit, mais là, il n'y a pas de hasard. » « Il a joué à la roulette russe », accuse Me Dabia Bey. Pour Me Mehana Mouhou, qui épaule « une mère abîmée, en miettes », « ce n'était pas le chauffeur mais le chauffard de ces dames ».
« Il ne voulait pas la tuer, mais il a tout fait pour », résume le vice-procureur Jean-Louis Rey. Le magistrat accable un peu plus les parties civiles, renvoyant chacun à ses responsabilités. « Tout le monde avait bu, personne ne l'a empêché de prendre le volant. Ce n'est pas un délinquant, mais il doit se racheter. » Il requiert une « peine d'expiation » de quatre ans dont deux avec sursis et un mandat de dépôt.
Me Éric Grosselle s'insurge contre « cette loi du Talion. La justice ce n'est pas la vengeance ». L'avocat assure que le prévenu « souffre tous les jours qu'il soit ou non en prison. Pour toujours, il est celui qui a tué la petite Amandine ». Il a même gravé les initiales de l'adolescente sur une chevalière qui ne quitte pas son auriculaire. Le conseil conteste le rapport d'expertise et sa vitesse excessive. « Tout cela est incertain. »
Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné Michaël Baleste à trois ans ferme et a ordonné son incarcération immédiate. Mécontent, las et chagriné, son frère s'en est alors pris au vice-procureur en l'insultant. Il a été placé en garde à vue pour outrage.
Florence MOREAU - SUD OUEST
Un chauffard condamné à 8 ans de prison
Publié le 17/02/2015
Beaucoup de tribunaux devraient s'inspirer de cette décision : l'acte violent délibéré de ce chauffard est, pour une fois, pratiquement sanctionné à la hauteur de ce que la loi prévoit (dix ans de prison).
Quel message incompréhensible pour les victimes car la justice applique donc des sanctions complètement aléatoires en fonction des juridictions !!!
Nous sommes convaincus que seule la Cour d'assise est en mesure de juger de tels chauffards dès lors que le législateur établira la loi adéquate pour ces comportements criminels, car les juges qui ont, eux, le pouvoir de criminaliser avec les textes actuels, ne le font pas.
Association Charlotte Mathieu Adam
THIONVILLE – Le tribunal correctionnel de Thionville a infligé 8 ans de prison au conducteur qui avait tué une lycéenne à scooter à Kuntzig, en janvier 2014.
Abdallah Abderrahmane, un Yussois âgé de 34 ans, a été condamné à 8 ans de prison, soit une peine inférieure aux réquisitions du ministère public qui avait réclamé dix ans d’emprisonnement ferme. Il sera maintenu en détention et ne pourra pas passer son permis de conduire pendant dix ans. Les juges thionvillois ont également condamné sa compagne à douze mois de prison avec sursis, pour dénonciation d’un délit imaginaire ayant provoqué des recherches inutiles.
En janvier 2014, Débora Jennes avait été percutée par une voiture dans un virage, peu après minuit, sur la RD 118A, alors que la jeune fille revenait à scooter d’une soirée de baby-sitting. Le conducteur du véhicule arrivé en sens inverse, Abdallah Abderrahmane, roulait sans permis, sous l’emprise de l’alcool et de produits stupéfiants. Il avait pris la fuite sans alerter les secours après l’accident.
(pp/L'essentiel)

Tarbes – 9 mois de prison avec sursis pour le chauffard : la colère des policiers
Publié le 10/02/2015
MOBILISONS - NOUS FACE A CES COMPORTEMENTS, c'est inadmissible! Association Charlotte Mathieu Adam
Jugé hier après-midi suivant la procédure de comparution immédiate, le chauffard qui avait renversé plusieurs piétons et commis des violences à l’encontre des policiers à la sortie d’une boîte de nuit vendredi dernier, a échappé à la prison ferme.
Un jugement qui n’a pas manqué de faire réagir le syndicat Unité Police SGP FO 65 par l’intermédiaire de Nicolas Cabos.
« Un gars sympathique qui a dérapé »
« Nous sommes venus soutenir cinq fonctionnaires du commissariat de Tarbes, lors de la comparution d’un individu auteur de violence, menaces de mort et d’outrage par parole envers personne dépositaire de l’autorité publique », explique Nicolas Cabos. « Dans cette affaire, le mis en cause est victime d’un banal accident matériel de la route. Très alcoolisé et agressif, il reprend son véhicule dans un intérêt de vengeance, avec le renfort de quatre copains, dont un porteur d’un pistolet factice avec chargeur à grenaille.
Lui-même porteur d’une bombe lacrymogène, il pense apercevoir deux piétons ayant participé à la dégradations de son véhicule, il fonce délibérément, renverse et blesse grièvement un jeune.
Interpellé avec ses « copains de virée », il continuera son agressivité en insultant copieusement les fonctionnaires de police et en s’en prenant volontairement à trois d’entre eux, en leur portant des coups de pied et poing à plusieurs reprises.
Il se présente devant le cour en « tant que victime des policiers », avec une condamnation à son casier, il est présenté comme un gars sympathique qui a dérapé après avoir bu. »
L’incompréhension des policiers
« Dans un contexte délicat et sensible pour les forces de l’ordre, particulièrement mises à mal, stigmatisées, victimes d’offensives en hausse de plus en plus récurrentes et occasionnant de conséquentes blessures ou atteintes à l’intégrité physique des personnels, Unité Police SGP FO 65 attendait une réponse pénale ferme et significative afin de donner un « signal » fort à des individus totalement irrespectueux des règles et lois, lesquels défient l’autorité policière et judiciaire de manière outrancière.
A l’issue de l’audience, l’auteur sera puni d’une peine de prison avec sursis de 9 mois, 150 euros pour défaut de maitrise, invalidation de son permis de conduire pour 6 mois, confiscation de sa bombe lacrymogène et interdiction de fréquenter les discothèques de Tarbes pendant 18 mois, en outre il indemnisera trois fonctionnaires de police et le jeune gravement blessé.
Unité SGP Police FO 65 tient à apporter tout son soutien à la famille du jeune et s’indigne face à l’incompréhension des sanctions dans cette affaire qui suscite une vague d’exaspération dans les rangs de la Police Nationale et a pour conséquence de démotiver et désabuser la majorité de nos collègues qui assurent au quotidien, dans des conditions extrêmement difficiles et dangereuses, la sécurité des personnes et des biens. »
La Semaine des PYRENEES
Il roulait à 164 km/h au lieu de 80 km/h
Ce dimanche, vers 17 h, un conducteur originaire de Moulay a été contrôlé sur la départementale 23, à hauteur de Mayenne. Il roulait à 164 km/h au lieu des 80 km/h autorisés.
Il roulait à 164 km/h au lieu de 80 km/h. Hier, dimanche, vers 17 h, les gendarmes de la brigade motorisée de Mayenne ont verbalisé un conducteur originaire de Moulay sur la route départementale 23, à hauteur de Mayenne.
Il s’agissait d’un jeune conducteur. Un arrêté de suspension de son permis de conduire va être pris par l’autorité préfectorale.
Parmi les sanctions possibles, cet automobiliste peut se voir infliger une amende maximale de 1 500 € en peine principale. Autres mesures possibles : suspension de son permis trois ans au plus ; obligation d’accomplir à ses frais un stage de sensibilisation à la sécurité routière ; confiscation de son véhicule et interdiction de conduire certains véhicules à moteur (voiturette).
http://www.ouest-france.fr/faits-divers-il-roulait-164-km/h-au-lieu-de-80-km/h-3176060
Marigné-Peuton : flashé à 194 km/h au lieu de 90 km/h
Ce dimanche, à Marigné-Peuton, les gendarmes ont flashé un automobiliste âgé de 46 ans, originaire de cette même commune, à la vitesse de 194 km/h au lieu de 90 km/h.
Ce dimanche, à Marigné-Peuton, vers 11 h 10, les gendarmes de la brigade motorisée de Château-Gontier ont flashé un automobiliste âgé de 46 ans, originaire de cette même commune, à la vitesse de 194 km/h au lieu de 90 km/h. Lors des faits, il se dirigeait vers Craon.Dans un premier temps, le contrevenant va perdre six points à son permis. Un arrêté de suspension va être pris par l’autorité préfectorale. Parmi les sanctions possibles, cet automobiliste peut se voir infliger une amende maximale de 1 500 € en peine principale.
http://www.ouest-france.fr/faits-divers-marigne-peuton-flashe-194-km/h-au-lieu-de-90-km/h-3176064
En excès de vitesse devant la caserne de gendarmerie
Un motard a été interpellé mardi matin à 163 km/h au lieu des 90 km/h autorisés. Il a été interpellé devant la caserne, où il avait pris l'habitude de passer très vite.
Depuis quelques jours, il faisait le même parcours à une vitesse excessive au guidon de sa Suzuki 750 cm3, provoquant un boucan d'enfer dans le bourg de Bourgneuf-en-Retz. Peut-être l'ignorait-il, mais sur son chemin se trouvait... la caserne de gendarmerie de la commune. Les gendarmes ont donc mis en place un dispositif de contrôle, mardi matin, devant la gendarmerie. Ça n'a pas raté. Le motard est passé devant à 8 h 30, à 163 km/h au lieu des 90 km/h autorisés.
Le permis de ce Vendéen de 24 ans a été retiré sur le champ. Il sera convoqué par les juges dans les prochaines semaines.
http://www.ouest-france.fr/insolite-en-exces-de-vitesse-devant-la-caserne-de-gendarmerie-3184952
Sécurité routière dans l'Orne. Nombreuses infractions le week-end dernier.
Les gendarmes ornais ont relevé de nombreuses infractions le week-end dernier : vitesse excessive, conduite en état d'ivresse, sous l'emprise de stupéfiants.
Les gendarmes avaient prévenu les usagers qu'ils seraient sur les bords de route. Le message n'est pas passé auprès de tous les usagers.
35 dépassements de la vitesse maximale autorisée, dont deux ayant entraîné la rétention immédiate du permis de conduire, ont été verbalisés. Le radar embarqué de la gendarmerie a flashé 55 fois samedi et dimanche.
Huit conducteurs ont été arrêtés le téléphone à la main. Un stop a été "grillé".
Un automobiliste a été contrôlé en état d'ivresse, un cyclomotoriste sous l'emprise de produits stupéfiants.
http://www.ouest-france.fr/securite-routiere-dans-lorne-nombreuses-infractions-ce-week-end-3178518

Taubira "pas assez sévère" envers le terrorisme et la délinquance pour 7 Français sur 10
Publié le 14/02/2015
La ministre de la Justice, Christiane Taubira, n'est "pas assez sévère" en matière de lutte contre la délinquance et contre le terrorisme pour plus de sept Français sur dix, selon un sondage Odoxa pour Le Parisien et iTELE paru samedi.
D'après cette enquête d'opinion, la garde des Sceaux n'est "pas assez sévère" contre la délinquance pour 73% des personnes interrogées, 3% la jugeant "trop sévère" et 24% "ni trop ni pas assez".
Un jugement partagé par les sympathisants de droite et de gauche
Cible favorite de la droite, Christiane Taubira est étrillée par les sympathisants de l'opposition, qui sont 91% à ne pas la trouver assez sévère. Mais une majorité de sympathisants de gauche (53%) partage cet avis.
En matière de lutte contre le terrorisme, elle n'est "pas assez sévère" selon 72% des sondés(trop sévère pour 3%, ni trop ni pas assez pour 24%). La proportion atteint 88% chez les sympathisants de droite et 54% chez ceux de gauche.
Taubira, un "handicap" pour le gouvernement pour 65% des sondés
Conclusion logique, la ministre est perçue comme "plutôt un handicap" pour le gouvernement chez 65% des personnes interrogées, "plutôt un atout" pour 33% (3% ne se prononçant pas). Elle demeure un atout toutefois chez une large majorité de sympathisants de gauche (63%).
Sondage réalisé les 12 et 13 février auprès d'un échantillon de 1.013 personnes représentatif de la population française de 18 ans et plus (méthode des quotas).

Accident et délit de fuite entre Guérande et Saint-Nazaire.
Un conducteur a causé une collision après un dépassement dangereux, jeudi matin, vers 7 h 30, sur la quatre-voies dans le sens Guérande-Saint-Nazaire.
Un automobiliste circulait sur sa file de droite quand il a vu surgir sur la bande d'arrêt d'urgence une Renault Scénic grise. Cette dernière s'est rabattue sur la gauche, obligeant l'autre voiture à se déporter. Les deux voitures ont terminé leur course dans le rail de sécurité. Le conducteur en cause a pris la fuite quelques secondes plus tard. L'autre automobiliste a été légèrement blessé et choqué. La police recherche d'éventuels témoins ou invite le conducteur en cause à se présenter au commissariat (02 51 76 17 50).
http://www.ouest-france.fr/accident-et-delit-de-fuite-sur-la-route-bleue-un-appel-temoin-3187220
Il confisque la clé du chauffard à "4g"
Publié le 10/02/2015

Montpellier : 3 ans ferme pour l'ambulancier qui avait provoqué un accident
Publié le 10/02/2015
Le tribunal a prononcé un mandat de dépôt à l'audience : l'ambulancier arrivé libre a été embarqué par la police.
L'ambulancier ivre qui avait percuté une voiture, tuant sa conductrice, le 16 octobre 2012 à Montpellier, a été condamné ce mardi 10 février par le tribunal correctionnel. Âgé de 39 ans, il a écopé de 5 ans de prison dont 2 avec sursis alors que le parquet avait requis, lors de l'audience du 2 décembre, 2 ans de prison. Fait rare : le tribunal a prononcé un mandat de dépôt à l'audience : l'ambulancier arrivé libre vient d'être embarqué par la police.
Y. PHILIPPONNAT - Midi Libre

Sécurité routière: Un nouveau film émouvant sur les grands blessés de la route
Publié le 09/02/2015
Les images valent mieux que les mots. La nouvelle campagne de la Sécurité routière présentée ce lundi, met en lumière quelques instants douloureux de la vie des blessés de la route. On y voit des corps mutilés, des personnes devenues handicapées pendant leurs soins ou des enfants regardant leur père incapable de se mouvoir tout seul.
«Combien de temps allons-nous continuer à croire que 100 blessés graves par jour ce n'est pas si grave que ça?», interroge une voix off, qui rappelle aussi qu' «un accident peut durer toute une vie», que «réparer les corps» ne suffit pas à «réparer des vies».
https://www.youtube.com/watch?v=HYsafTywB9U
Des conséquences en cascade pour les victimes
Diffusée à la télévision à partir de vendredi, veille de grands départs pour les vacances d'hiver, ce clip est déjà disponible sur Youtube. Alors que les chiffres de la mortalité routière sont régulièrement diffusés dans les médias, ceux des blessés le sont beaucoup moins. Et pourtant, leur réalité est bien sombre: sur les 900 blessés quotidiens sur les routes, 100 le sont gravement. Avec «des séquelles physiques, cognitives, psychologiques, familiales, pour les victimes mais aussi pour leur entourage», explique la Sécurité routière dans un communiqué. Sans oublier les conséquences économiques et sociales, car ces accidents provoquent aussi parfois une perte d'emploi, des problèmes financiers liés au réaménagement des lieux de vie....
Et chaque année, 35.000 personnes sont blessées gravement sur les routes selon une étude de l'Institut français de sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux (IFSTTAR), qui précise que 70% d'entre eux sont des usagers «vulnérables » (15.000 usagers de deux-roues, 5.000 cyclistes et 4.000 piétons). Et les jeunes sont particulièrement touchés (14.000 blessés ont moins de 30 ans chaque année).
Des conséquences en cascade pour les victimes
Diffusée à la télévision à partir de vendredi, veille de grands départs pour les vacances d'hiver, ce clip est déjà disponible sur Youtube. Alors que les chiffres de la mortalité routière sont régulièrement diffusés dans les médias, ceux des blessés le sont beaucoup moins. Et pourtant, leur réalité est bien sombre: sur les 900 blessés quotidiens sur les routes, 100 le sont gravement. Avec «des séquelles physiques, cognitives, psychologiques, familiales, pour les victimes mais aussi pour leur entourage», explique la Sécurité routière dans un communiqué. Sans oublier les conséquences économiques et sociales, car ces accidents provoquent aussi parfois une perte d'emploi, des problèmes financiers liés au réaménagement des lieux de vie....
Et chaque année, 35.000 personnes sont blessées gravement sur les routes selon une étude de l'Institut français de sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux (IFSTTAR), qui précise que 70% d'entre eux sont des usagers «vulnérables » (15.000 usagers de deux-roues, 5.000 cyclistes et 4.000 piétons). Et les jeunes sont particulièrement touchés (14.000 blessés ont moins de 30 ans chaque année).
Delphine Bancaud - 20 Minutes

Accident mortel de Réaup-Lisse : alcoolémie positive pour le conducteur
Cela ne faisait guère de doute pour les enquêteurs. Les résultats des analyses sanguines effectuées sur le jeune conducteur de 23 ans — blessé gravement dans l'accident qui s'est produit, dimanche dernier, sur la commune de Réaup-Lisse — ont confirmé qu'il présentait un taux d'alcoolémie délictuel. La compagnie de Nérac s'est refusée à préciser le chiffre exact. «Il présente un taux supérieur à 0,80 g par litre de sang», indique le commandant Balutet, de la compagnie de Nérac. Un résultat qui éclaire les circonstances de cet accident qui a coûté la vie à Aurélie Polégato, âgée de 31 ans et maman d'un petit garçon de trois ans. Sur place, les gendarmes de la brigade de Lavardac, chargés de mener les premières constatations, avaient pu noter que le compteur de sa Clio était bloqué à 110 km/h en raison de la violence de ce choc frontal. Pour l'heure, les résultats des analyses concernant d'éventuels produits stupéfiants ne son pas encore connus. Une plainte devrait être déposée dans les prochains jours par les proches de la victime. Le conducteur pourrait être poursuivi pour homicide involontaire. Il s'agit du deuxième accidentel mortel de ce début d'année impliquant un conducteur en état d'alcoolémie, le premier étant survenu le 19 janvier dernier sur la commune de Condezaygues. Il avait coûté la vie à un jeune homme de 21 ans. Comme nous l'indiquions dans notre édition d'hier, huit personnes ont déjà perdu la vie sur les routes lot-et-garonnaises depuis le début de l'année.

Un piéton entre la vie et la mort, le chauffard en garde à vue
Publié le 08/02/2015
SAINT-ANDRÉ
Il est environ 20 h 30 vendredi soir lorsque pompiers et policiers sont alertés à la suite d’un accident de la circulation survenu sur la rocade Sud à Mille-Roches, à hauteur de l’école Raphaël-Vidot.
À leur arrivée, ils découvrent un piéton de 46 ans qui a été fauché, mais pas le véhicule ni le conducteur impliqué dans l’accident. Des recherches sont engagées, tandis que la victime est évacuée dans un état critique. Elle était toujours hospitalisée hier, son pronostic vital engagé.
Quant à l’automobiliste, qui conduisait une 206 Peugeot, il a été appréhendé deux heures plus tard par les policiers saint-andréens. L’homme, âgé de 49 ans, était sous l’effet de l’alcool, avec un taux de 1,94 g par litre de sang en phase ascendante. Placé en cellule de dégrisement puis en garde à vue, le chauffard a déclaré ne pas se souvenir des faits. Il était semble-t-il en phase d’accélération lorsqu’il a percuté la victime, un homme qu’il connaissait par ailleurs.
Déjà connu pour des délits routiers, le mis en cause était toujours en garde à vue hier pour conduite sous l’empire d’un état alcoolique en récidive, délit de fuite et blessures involontaires. Une qualification qui reste suspendue à l’évolution de l’état de santé de la victime.
S. G.- clicanoo.re
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BAROMETRE ONISR AVRIL 2017
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Tuer sur la route en étant ivre et drogué ne constitue qu’un homicide involontaire
Le monde 22/06/16
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