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Actualités nationales

Val-de-Marne : ado mortellement fauchée, un homme et son frère interpellés

Publié le 06/02/2015

Déjà 5 accidents mortels sur les routes du Val de Marne en 2015


Voir lien ci-dessous :

http://94.citoyens.com/2015/deja-5-accidents-mortels-sur-les-routes-du-val-de-marne-en-2015,06-02-2015.html


Ce vendredi, en début d'après-midi, un homme s'est présenté au commissariat de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne) comme étant le conducteur du monospace gris qui a fauché, tôt dans la matinée, une adolescente de 16 ans sur la D5 de cette même ville, avant de prendre la fuite. Des propos toutefois mis en doute par son audition, qui a orienté les policiers vers son frère, interpellé peu après à Champigny (Val-de-Marne).

 

Ce vendredi soir, les deux individus étaient toujours en garde à vue, selon une source policière.

Le conducteur était activement recherché depuis ce matin, 7 h 30, heure à laquelle un dramatique accident est survenu à l’angle de la rue du Four et de l’avenue de Newbrun (D 5), à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne). Une jeune fille d’environ 15 ans traversait en direction de l’arrêt Choisy-Sud du bus 185 quand une voiture — une Opel Zafira grise  — l’a percutée et projetée à une quinzaine de mètres, sur le terre-plein central. 

Le conducteur aurait grillé le feu rouge à vive allure avant de prendre la fuite. D’abord secourue par les militaires chargés de la surveillance de la synagogue voisine, située au 28, avenue de Newbrun, la jeune fille, très grièvement touchée, a été transportée par les pompiers à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil. Elle a succombé à ses blessures dans la matinée.

Aurélie Selvi (avec E.M.) - Le Parisien

Maître Phung

Verdict procès en appel de Charlotte Landais

JT 1920 du 5 février 2015 - Invité Maître Phung

Montpellier: Pour la première fois, un homme est condamné pour avoir laissé conduire son ami ivre

Publié le 05/02/14

Le 22 décembre 2012, vers 5h du matin, Charlotte, 18 ans, mourrait après avoir été renversée par un automobiliste. Roulant à toute vitesse, sous l’emprise de l’alcool et de stupéfiants, et sans permis de conduire valide, ce Montpelliérain de 35 ans avait pris la fuite après le drame avant d'être arrêté quelques heures plus tard. Ce jeudi après-midi, plus de deux ans après les faits, la cour d’appel de Montpellier a confirmé le jugement de la première instance, soit une condamnation à six ans de réclusion criminelle.

Une première en France

Le caractère «historique» de l’arrêt de la cour est ailleurs: l’ami du chauffard, qui a fauché Charlotte, a lui aussi été condamné. Il avait prêté son véhicule et laissé partir son ami: il écope de dix-huit mois de prison avec sursis, contre un an dont six mois avec sursis en première instance. Etre condamné pour avoir laissé conduire un ami ivre qui commet un homicide sur la route, c’est une première en France. «C’est un combat que l’on avait engagé il y a deux ans, explique Stéphane Landais, le père de Charlotte. Si on peut empêcher quelqu’un de prendre le volant, il faut le faire. Cela peut sauver des vies. On espère que ce jugement permettra d’aller vers plus de responsabilisation des citoyens. Il y a un vide juridique en France, qu’il faut combler...»

Pour maître Carron, l’avocat des parents de Charlotte, ce combat quitte la sphère judiciaire, pour rejoindre «le terrain politique». «Les responsabilités des deux hommes ont été reconnues au même niveau: l’homicide involontaire. C’est une décision très forte, qui doit bénéficier d’un large écho dans la société. J’invite les gens à se responsabiliser, sur la sécurité routière», note-t-il. De son côté, maître Poilpré, l’avocat de l’ami du chauffard, n’adhère pas à l’arrêt de la cour d’appel prononcé ce jeudi. «La culpabilité ne peut pas être retenue... La cour a retenu que mon client n’avait pas fait le nécessaire, pour empêcher son ami de prendre le volant, arguant le fait que c’était un ami de très longue date. Je ne vois pas le rapport. Il n’avait pas le pouvoir de lui prendre sa clé...» L’homme devrait se pouvoir en cassation pour contester la décision.

La cour d’appel n’a pas accédé à l’autre demande des parents de Charlotte, qui souhaitaient que le chauffard soit rejugé devant les Assises, et que les faits qui lui sont reprochés soient criminalisés.

Nicolas Bonzom - 20 Minutes

Il laisse son ami ivre reprendre le volant : 18 mois de prison avec sursis

Publié le 05/02/14

http://lci.tf1.fr/france/justice/il-laisse-son-ami-ivre-reprendre-le-volant-18-mois-de-prison-avec-8559803.html

Un homme qui avait laissé conduire un ami ivre responsable d'un accident mortel a écopé en appel d'une peine de dix-huit mois de prison avec sursis pour homicide involontaire.

Un homme a été condamné ce jeudi par la cour d'appel de Montpellier à dix-huit mois de prison avec sursis pour homicide involontaire après avoir laissé conduire un ami ivre responsable ensuite d'un accident mortel. Les magistrats ont infirmé la peine infligée à Mustapha Bouchane par le tribunal correctionnel de Montpellier, lequel avait prononcé le 5 mars une condamnation à 18 mois de prison, dont six ferme.

A l'audience, le 18 décembre, l'avocat général Pierre Denier avait demandé la confirmation de cette condamnation de première instance, une première en France. Il avait souligné que le prévenu "avait bien contribué à la réalisation du dommage", comme le prévoit la loi. Contre Lhoussain Oulkouch, auteur de cet accident qui avait coûté la vie à une étudiante, la cour d'appel a confirmé les six ans de prison infligés en première instance alors que l'avocat général avait réclamé sept années de détention. Le chauffard a été déclaré coupable d'homicide involontaire aggravé notamment par l'alcool, la vitesse, le défaut de permis et la prise de cannabis.

"Qu'est ce qui lui permettait de ne pas rendre les clefs au propriétaire du véhicule sans lui-même commettre un vol ?"
 
Dans la nuit du 22 décembre 2012, Lhoussain Oulkouch, a fauché et tué une étudiante en pharmacie de 18 ans, Charlotte Landais. Il présentait un taux d'alcoolémie estimé par les experts entre 2,36 gr/l et 4,2 gr/l. Mustapha Bouchane, voyant que son copain n'était pas en état de conduire, avait pris le volant pour rentrer chez lui, alors qu'il n'avait pas de permis. Mais une fois à son domicile, il avait rendu les clefs de son véhicule à son ami et propriétaire, l'accident se produisant moins de deux minutes plus tard.

Dans son arrêt, la cour d'appel de Montpellier a estimé que Mustapha Bouchane n'avait "pas tout fait pour empêcher" l'auteur de l'accident "de prendre le volant", notamment en lui "subtilisant les clefs" alors qu'ils sont "amis de longue date". Pour son avocat, Me Michael Poilpré, Mustapha Bouchane "n'avait pas les moyens d'empêcher son ami de reprendre son véhicule" au vu de la législation actuelle. "Cet arrêt ne répond pas à une question juridique: qu'est ce qui lui permettait de ne pas rendre les clefs au propriétaire du véhicule sans lui-même commettre un vol ?", a-t-il demandé, précisant qu'il envisageait un pourvoi en cassation.

lci.tf1.fr

Montpellier : 6 ans de prison pour le chauffard meurtrier de Charlotte Landais

Publié le 05/02/14

http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/2015/02/05/montpellier-6-ans-de-prison-pour-le-chauffard-meurtrier-de-charlotte-landais-649151.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

 

La Cour d'appel de Montpellier a rendu son arrêt dans le procès du chauffard responsable de la mort de Charlotte Landrais : 6 ans de réclusion. L'ami d'enfance du conducteur qui avait prêté son véhicule est condamné à 18 mois avec sursis.

L'arrêt de la Cour confirme le jugement en première instance. Le conducteur du véhicule qui a fauché la jeune Charlotte Landrais sous l'emprise de l'alcool et de la drogue est condamné à 6 ans de réclusion. 

La culpabilité en "homicide involontaire" de l'ami du conducteur qui  a prêté son véhicule a été reconnu. Il écope de 18 mois de prison avec sursis. En première instance, il avait été condamné à 1 an, dont 6 mois avec sursis.

 Par Armelle Goyon - France3 Languedoc Roussillon


Peine confirmée pour le chauffard ivre meurtrier de Charlotte Landais

Publié le 05/02/14

http://www.francebleu.fr/faits-divers/porces-chauffard/chauffard-ivre-meurtrier-la-cour-d-appel-de-montpellier-rend-sa-decision-aujourd-hui-2124789

 

La cour d'appel de Montpellier a tranché dans l'affaire Charlotte Landais, cette jeune Gardoise fauchée en 2012 par un conducteur ivre. Le chauffard a été condamné à six ans de prison ferme. Son ami qui l'avait laissé partir saoul écope de 18 mois avec sursis. Il a été reconnu coupable d'homicide involontaire. Une première en France.


La cour d'appel de Montpellier a rendu ce jeudi sa décision concernant l'affaire Charlotte Landais. Il y a deux ans, la jeune étudiante gardoise avait été tuée par un automobiliste ivre.

Lors du premier procès le chauffard avait été condamné à six ans de prison ferme pour "homicide involontaire" avec cinq circonstances aggravantes. La cour d'appel a confirmé cette peine.

Son ami, qui lui avait prêté sa voiture et l'avait laissé partir malgré son état fortement alcoolisé, avait été reconnu comme responsable "indirect" de la mort de Charlotte Landais.En première instance, il avait été condamné à un an de prison dont six mois ferme.

En appel, il écope de 18 mois avec sursis. La cour l'a lui aussi reconnu coupable d'homicide involontaire.

C'est une première en France pour une personne qui laisse un homme ivre prendre le volant. Et c'est surtout une victoire pour le père de Charlotte, qui se battait depuis des annnées...

par Arnaud d'ArcyFrance Bleu Gard Lozère


Le chauffard fonce sur les policiers

Castres : publié le 05/02/2015

Un Castrais de 33 ans a été condamné hier à 12 mois de prison, dont six assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve, et au paiement d'une amende d'un montant de 200€ par la chambre correctionnelle de Castres.

Dans la nuit du 19 au 20 août dernier, il avait commis la bagatelle de quatre délits routiers. Des agissements qui semblent devenir une bien mauvaise habitude pour ce trentenaire déjà condamné à trois reprises pour des faits de même nature. «Ses agissements sont de plus en plus dangereux. Ca commence à faire beaucoup, je vais donc réclamer une lourde peine pour lui faire comprendre» a expliqué le représentant du parquet en agrémentant ses réquisitions d'une obligation de soins, de travailler et de passer le permis de conduire. Une dernière demande à laquelle le prévenu a rapidement fait savoir qu'il était opposée. «Ca ne sert à rien de le passer si c'est pour le faire retirer» a-t-il benoîtement lancé à la présidente d'audience. Des propos qui donnent autant froid dans le dos que les faits qui l'ont conduit à la barre d'un tribunal correctionnel.

Dans la nuit du 19 au 20 août, les policiers castrais sont requis afin d'assurer la sécurité et la circulation aux abords d'un accident de la route ayant provoqué l'incendie d'un véhicule.

Ivre et sans permis

Ce faisant, les fonctionnaires aperçoivent un véhicule arrivant à vive allure. Ils intiment alors l'ordre à son conducteur de s'arrêter. Ce dernier force finalement le dispositif, obligeant un policier à rapidement sauter sur le rond-point voisin afin de ne pas être renversé. Une course poursuite s'engage alors entre le chauffard et les forces de l'ordre. Malgré la perte d'un pneu, le fuyard parvient à prolonger sa fuite en roulant sur la jante. Finalement arrêté, il est soumis à un alcootest qui révèle un taux de près de deux grammes par litre de sang dans son organisme. Circulant par ailleurs sans permis, le jeune homme expliquera avoir agi ainsi afin qu'on ne lui prenne pas son chien, présent dans le véhicule, contre qui une mesure de confiscation et une décision d'euthanasie avait été prononcée.

Sécurité routière. Vitré: des comportements qui inquiètent les gendarmes

Vitré : 03/02/2015

Les gendarmes de la Brigade motorisée de Vitré préoccupés par le comportement de certains automobilistes.

 

Mardi matin, la Brigade motorisée de la gendarmerie (BMO) a reçu la visite du capitaine Philippe Legros, commandant l’escadron départemental de la sécurité routière. À cette occasion, l'officier a fait un retour sur l'année 2014. « Une année catastrophique » au plan départemental, a-t-il jugé, d’autant plus que « bon nombre de ces accidents auraient pu être évités. 37 % des accidents mortels ont été liés à des conduites addictives ».

La compagnie de Vitré n'a pas fait exception. On a constaté en 2014, 73 accidents qui ont fait 17 tués et 91 blessés. Cause première : la vitesse, là aussi, suivie de près par les conduites addictives. Alcoolémie et prise de drogue ont doublé en un an. 

Ouest France

Varois tués par un chauffard en Italie: 21 ans de prison confirmés en appel

L'assassin se pourvoit en Cassation , le 11 mars 2015 à 10 heures à Rome.

Le verdit de la cour d’appel des assises de Turin a été accueilli ce jeudi matin par des cris de joie. Au terme d’un procès assez déroutant, les jurés ont finalement confirmé le premier jugement du tribunal d’Alessandria en juillet 2012, en reconnaissant l’homicide volontaire sur les quatre varois et en condamnant une deuxième fois Ilir Beti à 21 ans et 6 mois de prison.

Les familles Lorin et Reynard, présentes à l’audience, se sont écroulées de soulagement, s’embrassant, pleurant. « Beti a ce qu’il mérite », sourit enfin Yves Renard, le père d’Audrey.

« On ne fait pas le deuil de nos enfants, mais au moins, Beti a été puni à la hauteur de ses actes », dit Christine Lorin, la mère de Vincent, les yeux trempés. Jointes par téléphones, les autres familles, restées en France, n’y croyaient plus.

« J’ai pleuré de joie en apprenant le verdict », tremble encore Silvana Boette, la mère de Laurent, seul survivant de la voiture des varois.

« Je pensais que c’était cuit, vous ne pouvez pas savoir comme je suis soulagée », souffle Marie-Laure Lorhman, la mère de Julien Raymond. Au téléphone aussi, Marie Maggio laisse éclater sa joie : « J’en ai des frissons partout, j’ai appelé notre avocate, elle pleurait aussi ».

Le doute s’était installé depuis mardi

Pourtant le procès en appel qui a débuté mardi avait installé le doute dans l’esprit des familles des victimes. Le procureur général avait en effet plaidé l’homicide involontaire,a contrario de son homologue du tribunal d’Alessandria. Mardi, il avait requis l'abaissement de la peine à 13 ans et quatre mois.

Ce jeudi matin, le second avocat d’Ilir Beti, le ténor Franco Coppi, a minutieusement démonté les preuves à charge, martelant qu’ « un homme roulant en état d’ébriété ne peut pas être considéré comme quelqu’un qui a prémédité un accident mortel ».

Toute sa plaidoirie a tourné autour du fait que l’ivresse et la somnolence au volant ne pouvaient caractériser « une volonté de tuer ». L’audience a été suspendue une heure et demi pour que les jurés délibèrent.

Les familles des victimes, extrêmement tendues, sont passées par tous les stades d’émotions : de l’abattement au sursaut de confiance en passant par la colère. Une colère criée aux jurés juste avant la suspension d’audience.

« Ce n’est pas une erreur, c’était un massacre. Beti a assassiné nos enfants », a hurlé Christine Lorin avant d’être calmée par les « carabinieri », les policiers italiens.

Le chauffard le plus lourdement condamné d'Europe

Finalement, à 11h30, le président du tribunal, Alberto Oggé, encadré par les jurés, lit dans sa barbe le jugement. Silence dans la salle qui tente de capter des mots inaudibles.

Soudain, l’avocate de la partie civile, Sabrina Visone, arrivée seulement pour entendre le verdict, se retourne et lance aux familles : « Il confirme la peine ». Explosion de joie sur les bancs du public.

Si Ilir Beti peut encore se pourvoir en cassation, il reste pour l’instant le chauffard le plus lourdement condamné d’Europe.

Varmatin.com - Marielle Valmalette

Sécurité routière : les progrès au point mort ?

ASSOCIATION MARILOU, POUR LES ROUTES DE LA VIE

france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2015/01/30/securite-routiere-les-progres-au-point-mort-ce-sera-le-theme-de-la-voix-est-libre-demain-11h30

Depuis le début de l'année, six personnes ont déjà perdu la vie sur les routes picardes.
Faut-il s'en alarmer, quand les chiffres de l'accidentologie se sont considérablement améliorés ces dernières années ? Peut-on encore réduire le nombre de victimes d'accidents de la route ?


Dans la Somme, si les accidents ont été moins nombreux qu'en 2013, on déplore 7 morts de plus en 2014.
Alors que le Ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve vient d'annoncer, en réaction aux mauvais chiffres nationaux, la mise en place de 26 mesures pour améliorer la sécurité routière, doit-on tabler sur la répression ou la prévention ?


"Sécurité routière : les progrès au point mort ?", ce sera le thème de La Voix est Libre de cette semaine sur France 3 Picardie.


Une question dont débattront Cathy Colin et ses invités, Lionel Chatelin, délégué régional de l'Association pour la promotion de l'éducation routière, Philippe Poinsot, porte-parole de l'association Marilou, Patrick Botto, accidentologiste, et Marc Jeansou, délégué Nord-Picardie de l'association 40 millions d'automobilistes.


Publié le 30/01/2015
Par Arrantxa Belderrain - France3 Picardie

Hérault : l'étudiante reste dans un état désespéré après un accident

Publié le 30/01/2015

Un accident impliquant deux véhicules s'est produit, mardi 27 janvier au matin sur la départementale 27E1, entre Montarnaud et Bel-Air, à Vailhauquès (Hérault). Un choc frontal ayant impliqué deux véhicules et au cours duquel trois personnes ont été blessées. Ce vendredi, le chauffeur du camion s'est présenté à la gendarmerie.

Mardi 27 janvier, vers 8 h 15, un automobiliste qui circulait avec sa fille âgée de 14 ans (tous deux résidant à Grabels), à bord de son monospace Ford S-Max, a voulu doubler un camion roulant à faible allure. Mais en pleine manœuvre, il n'a pu éviter la Peugeot 307 d'une étudiante de 24 ans, domiciliée à Montarnaud (Hérault), qui arrivait en face. Lors du choc, celle-ci a été très grièvement blessée. Réanimée sur place, elle a ensuite été évacuée, dans le coma, vers le CHRU par le Dragon 34, l'hélicoptère de la Sécurité civile. Elle se trouvait dans un état jugé désespéré.

L'étudiante est toujours en vie mais dans un état qualifié de désespéré

En soirée, les gendarmes de la brigade de Saint-Gély- du-Fesc, en charge de l'enquête, poursuivaient leurs investigations. Et recherchaient activement le conducteur du camion. Lequel ne s'est pas arrêté à la suite de la collision. N'a-t-il rien vu ou entendu ? Possible, même si cela paraît improbable. Les militaires avaient lancé donc un appel à témoins et avaient demandé instamment à toute personne ayant circulé sur cet axe dans ce créneau horaire et dans ce secteur, mais aussi au conducteur de ce véhicule, de se rapprocher de la brigade pour pouvoir déterminer l'origine exacte de cet accident (brigade de gendarmerie de Saint-Gély-du-Fesc : 04 67 91 73 00).

Ce jeudi, l'étudiante est toujours en vie mais dans un état qualifié de désespéré. A noter que l'appel à témoins lancé par les gendarmes a trouvé écho puisque le chauffeur du camion s'est présenté ce vendredi après-midi à la gendarmerie.

Midi Libre : JEAN-FRANÇOIS CODOMIÉ

Fait divers en Finistère : Il roule à contresens sur la voie express

Quimper : le 25/01/2015

Dans la nuit de samedi, à 23 h, un homme a roulé à contresens sur la voie express, au niveau de Lothey. Il a rapidement été interpellé par la BMO de Châteaulin. Il était ivre.

 

Dans la nuit de samedi, à 23 h, les gendarmes du Peloton motorisé de Châteaulin se sont engagés à la suite de nombreux appels téléphoniques d'automobilistes circulant sur la RN 165, entre Châteaulin et Quimper. Ces derniers rapportaient avoir croisé un véhicule roulant en contresens.

L'automobiliste a été interpellé à hauteur de l'échangeur de Lothey alors qu'il roulait sur la voie de gauche. Après un test d'alcoolémie, il a été révélé que le conducteur, originaire de Landivisiau et âgé de 47 ans, avait plus de deux grammes d'alcool dans le sang.

Le conducteur avait emprunté la voie express à Quimper pour se diriger vers Brest pour rejoindre son domicile à Landivisiau. Il a parcouru 20 kilomètres sans accident mais en ayant créé de grandes frayeurs aux automobilistes croisés.

Son permis de conduire a été retiré. Il est convoqué au tribunal.

D'autre part, la BMO de Châteaulin tient à remercier les automobilistes qui ont signalé le comportement dangereux du conducteur.

Ouest-France  

De nouvelles mesures sur les routes

Publié le 25/01/2015

Le nombre de morts sur la route a augmenté en 2014 pour la première fois en douze ans. Bernard Cazeneuve va annoncer lundi de nouvelles mesures.

Bernard Cazeneuve va annoncer lundi une augmentation du nombre des morts sur les routes françaises en 2014, première année de hausse depuis douze ans, et présenter une nouvelle série de mesures. L'une d'elles concerne l'alcoolémie au volant, d'après plusieurs sources proches concordantes. Le taux d'alcoolémie maximum autorisé pourrait être abaissé. Le ministre de l'Intérieur va s'adresser lundi au bureau du Conseil national de la sécurité routière (CNSR).

Ces derniers jours, l'Académie de pharmacie – coïncidence ? – militait déjà pour que le permis de conduire suspendu à un automobiliste pour alcool au volant ne lui soit rendu qu'après un test capillaire. Trois centimètres de cheveux suffisent pour déterminer si une personne a effectivement été abstinente ou pas durant les trois mois de suspension.

 
 

Pas de limitation à 80 km/h généralisée

En décembre déjà, Bernard Cazeneuve avait expliqué qu'il entendait mener une action« tous azimuts » pour enrayer la hausse de la mortalité routière qui se profilait pour 2014. Mais il avait également répété qu'une baisse générale la limitation de vitesse de 90 km/h à 80 km/h sur les routes secondaires bidirectionnelles, recommandée par le CNSR, était exclue. Cette limitation ne sera expérimentée que sur quelques tronçons (*).
Pour Chantal Perrichon, présidente de la Ligue contre la violence routière, « cette remontée (de la mortalité) est la responsabilité de la puissance publique qui n'a annoncé aucune nouvelle mesure depuis mars 2013 », et la mise en place de radars de la troisième génération dans les voitures banalisées. Elle demande donc la mise en place rapide d'une loi interdisant les avertisseurs de radar, le passage de 90 à 80 km/h de la limitation de la vitesse sur le réseau secondaire français ou l'interdiction de toute pratique de téléphone au volant, y compris le recours au Bluetooth.
Pour Pierre Chasseray, de l'association 40 millions d'automobilistes, cette hausse doit être relativisée : « En termes de morts sur les routes, l'année 2014 est la deuxième meilleure année depuis que les statistiques existent. Avec un premier bilan évalué par l'association de 3.389 tués sur les routes, 2014 affiche 256 victimes de moins qu'en 2012 et 870 de moins qu'en 2011 », précise l'association samedi dans un communiqué. Pour son président, il ne faut pas oublier que l'alcool au volant est la première cause de mortalité sur les routes.

(*) Après un an d'entrée en vigueur, la mairie de Paris et la préfecture de police ont tiré lundi un « bilan très positif » de la réduction de 80 à 70 km/h de la vitesse maximale sur le périphérique, avec une baisse de 15 % du nombre d'accidents constatés et une hausse de la vitesse moyenne.

laNouvelleRepublique.fr

Hausse historique de la mortalité sur les routes en 2014

BFMTV : publié le 24/01/2015

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve doit annoncer lundi une augmentation historique de la mortalité routière en 2014: entre 120 et 140 morts de plus auraient été comptabilisés l'an dernier par rapport à 2013.

 

Tuée par des chauffards qui faisaient la course sur la promenade des Anglais à Nice

Publié le 24/01/2015

Sur le bas-côté, une femme de 64 ans gît. Inanimée. Il est 19 heures. Quelques secondes plus tôt, deux chauffards qui faisaient la course sur la Promenade des Anglais à Nice l’ont mortellement fauchée.

La retraitée, qui rentrait chez elle après avoir promené son chien, est morte sur le coup. Terrible histoire où la bêtise le dispute à l’ignominie. En ce début de soirée, la circulation est encore dense sur la chaussée nord de la promenade des Anglais.

En direction de Cannes, deux véhicules zigzaguent dans le trafic. Passé le Négresco, ils foncent à tombeau ouvert. Une Golf grise. Une vieille BMW bleu foncé. Bêtise à l’état brut.

Dans le flux de circulation, ce gymkhana effraie nombre d’automobilistes qui laissent le passage, parfois en catastrophe, à ces fous du volant.

Sur le passage protégé

18 h 57. A deux cents mètres de là, une dame de 64 ans rentre chez elle. Elle s’apprête à traverser la Promenade au niveau du 107. Passage protégé. Feu qui passe au rouge. Elle s’élance... sans imaginer la catastrophe qui fond sur elle.

La victime a tout juste fait quelques pas sur la chaussée qu’elle est heurtée par la Golf grise. Le choc est tel que le pare-brise de la voiture vole en éclat. Il faudra prés d’une centaine de mètres à la Golf pour enfin s’arrêter, en évitant de justesse selon les témoins d’enchaîner des tonneaux. La BMW, elle, stoppe sans trop de problème mais en laissant derrière elle d’extravagantes traces de freinage.

Il est 19 heures: la retraitée de 64 ans a fait un vol plané d’une dizaine de mètres avant que son corps ne s’abîme sur le terre-plein central. Tuée sur le coup.

Police et pompiers sont là très vite, en dépit du grand embouteillage qui s’est doucement mais sûrement créé sur la chaussée nord, et qui remonte sur plus de deux kilomètres. L’enquête ouverte immédiatement confirme les témoignages des passants.

Les deux conducteurs des voitures folles, eux, n’ont cependant qu’une idée en tête: tenter de se dédouaner de leurs responsabilités. Deux personnes étaient dans la Golf grise qui a tué cette retraitée de 64 ans, mais il semble impossible de déterminer qui était au volant.

Le conducteur de la BMW n’est pas d’un grand secours pour les policiers. Se disant d’origine tchétchène, les trois individus n’ont ni papier d’identité, ni... permis de conduire. Transférés à la caserne Auvare, les trois chauffards avaient été placés soir en garde à vue samedi soir.

nicematin.com

 

Il avait laissé conduire son ami ivre. Pas de condamnation requise

ST NAZAIRE : le 20/01/2015

L'accident avait fait deux morts en 2012 à Montoir. Le tribunal correctionnel de Saint-Nazaire devra déterminer si l'ami du chauffard ivre est coresponsable du drame.

 

C'est un procès rare qui s'est déroulé ce mardi au palais de justice de Saint-Nazaire et qui, selon la procureure elle même, en fonction de la décision qu'il engendrera, pourrait avoir des répercussions sur la jurisprudence en cas d'accident mortel.

Un homme de 38 ans, ouvrier du bâtiment, est poursuivi pour homicide et blessure involontaire parce qu'il avait passé la journée à boire avec l'homme qui allait provoquer un accident mortel. Devait-il empêcher le conducteur de reprendre la route ? Pouvait-il le faire ? A-t-il été complice de fait en buvant avec son chauffeur qu'il savait totalement ivre ?

A contresens

Le drame remonte à la nuit du 31 mars au 1er avril 2012. À 2 h du matin, un homme de 46 ans, ouvrier du bâtiment domicilié à La Baule, s'engage à contresens sur la quatre-voies entre Saint-Nazaire et Nantes. Quelques minutes plus tard, au niveau de Montoir-de-Bretagne, c'est le choc effroyable.

Dans la voiture qui vient en face, un homme de 26 ans et sa compagne, une étudiante de 23 ans. Charlotte Lagache est tuée sur le coup. Le chauffard également. Il avait 2,31 grammes d'alcool par litre de sang.

Pas de peine requise

Le prévenu qui avait passé la journée avec ce dernier s'était fait raccompagner chez lui. « Il devait dormir chez moi. Quand je suis sorti de la voiture, il a redémarré »a-t-il expliqué à la barre.

Le père de Charlotte Lagache qui mène un combat depuis près de trois pour obtenir ce procès a indiqué qu'il est temps de faire changer les choses en matière de sécurité routière en lien avec l'alcool.«  Ne pas condamner serait envoyer un très mauvais signal à tous ceux qui ne veulent pas se responsabiliser. »

Jugement le 10 mars

Pour la procureure, Fabienne Bonnet, « l'attitude du prévenu est moralement condamnable, mais il s'agit de savoir s'il a commis une faute en lien avec le dommage. Je ne le pense pas »

Elle précise que condamner dans ce dossier serait élargir la jurisprudence en matière de coresponsabilité dans ce genre d'affaires. « Doit-on exiger de tout citoyen qui se trouve avec un homme alcoolisé de mettre tout en œuvre, quitte à se mettre lui même en péril pour l'empêcher de conduire? » 

La procureure n'a pas requis de peine, s'en remettant à la décision du tribunal. Son jugement sera rendu le 10 mars.

Ouest France

Lycéenne tuée à Kuntzig: dix ans de prison requis contre le chauffard

Publié le 20/01/2015

Le parquet a requis dix ans de prison ferme contre un chauffard qui avait tué  une lycéenne à scooter il y a un an sur une route départementale de la région de Thionville (Moselle). L’automobiliste avait consommé de l’alcool, de la drogue et n’avait pas de permis de conduire.

 

Le parquet de Thionville a requis dix ans de prison ferme à l’encontre d’un chauffard qui avait mortellement fauché une lycéenne à scooter en janvier 2014. Le juge devra se prononcer sur cet homicide involontaire traité par le tribunal correctionnel près d’un an jour pour jour après le drame qui avait coûté la vie à Déborah, une lycéenne âgée de 17 ans et scolarisée à Thionville.

 

Le constat est accablant pour cet homme de 33 ans originaire de Yutz (Moselle). Le chauffard qui avait tué Débora, 17 ans, dans la nuit de samedi à dimanche 19 janvier 2014 alors qu’elle circulait à scooter sur une route départementale près de Kuntzig roulait sans permis, sous l’emprise de stupéfiants et d’alcool. Des circonstances aggravantes qui ont conduit à mettre en examen et à placer en détention provisoire ce délinquant de la route dont les multiples délits routiers étaient déjà connus des services de police. Il s’agit là d’un multirécidiviste.

 

Sa femme, âgée de 31 ans qui était présente au moment de l’accident mortel avait également mise en examen. Directement complice de son mari, elle n’a pas porté assistance à la victime après le choc. Le juge d’instruction en charge de l’affaire avait donc décidé sa mise en examen.

 

Un gros mensonge inventé par le couple

 

L’adolescente revenait de Bertrange (Moselle) après avoir passé une soirée  de babysitting dans sa famille. Elle rentrait en scooter au domicile familial. Alors qu'elle prenait un virage à droiteelle a été percutée par une voiture, une Renault Mégane bleue, arrivant dans l'autre sens. La jeune fille avait été violemment percutée alors qu’elle était à l’entrée de son village.

 

La lycéenne, scolarisée au lycée Hélène Boucher à Thionville, terminale Scientifique, avait été projetée à plusieurs dizaines de mètres de son scooter, confirmant la violence du choc et potentiellement la vitesse élevée du véhicule incriminé.

 

Le chauffard avait abandonné sa voiture accidentée dans un champ à proximité de l’accident. Il avait été interpellé quelques heures après l’accident. La gendarmerie avait lancé un vaste dispositif de recherches appuyé d’une équipe cynophile et d’un hélicoptère venu de Metz. Finalement, les gendarmes ont retrouvé la trace du chauffard grâce à un appel téléphonique passé à l’hôtel de police de Thionville par le conducteur de la voiture abandonnée. Celui-ci a affirmé dans un premier temps avoir été victime d’un car-jacking, d’où l’abandon de son véhicule dans un champ. Il a finalement reconnu avoir renversé la jeune fille à scooter et s’être enfuit à pieds. Le couple est originaire de Yutz, ville située à côté du théâtre de l’accident. Le couple a finalement lors de leur garde-à-vue avoir renversé la jeune fille et avoir inventé un scénario pour tenter de se disculper du drame. 

LOR'Actu.fr

La co-responsabilité jugée

Publié le 20/01/2014

Aujourd'hui se tenait à St Nazaire le procès du co-responsable de la mort de Charlotte Lagache :

Dans la nuit du 31 mars au 1er Avril 2012, deux hommes s'alcoolisent, le chauffard ivre mort ( 2,31 g/l) prend la voiture et tue, en prenant la 2fois2 voies à contre sens, Charlotte alors agée de 23 ans.

Il décèdera lui-aussi dans ce qu'on ne peut plus appeler un "accident", privant ainsi la famille d'un procès.

Le co-responsable,ivre lui aussi, et forcément conscient de l'état lamentable dans lequel se trouvait le chauffard, le laisse partir le soir du drame et s'expose fort logiquement à l'article 121-3 du code pénal :

"les personnes physiques qui n'ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n'ont pas pris les mesures permettant de l'éviter, sont responsables pénalement s'il est établi qu'elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d'une particulière gravité qu'elles ne pouvaient ignorer."

Après deux classements sans suite, les parents de Charlotte Lagache obtiennent, par leur courage et leur tenacité, que soit jugé celui qui aurait pu empêcher la mort de leur fille.

A Montpellier le 4 Mars 2014 et en appel le 18 Décembre 2014, le tribunal avait ouvert la voie en condamnant à 6 mois ferme le co-responsable de la mort de Charlotte Landais.

La présidente du tribunal avait dit "qu'on ne pouvait plus fermer les yeux....."

On attendait aujourd'hui que le ministère public confirme à St Nazaire la jurisprudence engagée, mais avec stupeur et incompréhension on apprend qu'aucune poursuite n'est requise !!!

Ainsi, il est inadmissible d'entendre la procureure de St Nazaire, dire à la barre « l'attitude du prévenu est moralement condamnable, mais il s'agit de savoir s'il a commis une faute en lien avec le dommage. Je ne le pense pas ».

Connait-elle l'article 121-3 ?????????

 

http://www.ouest-france.fr/il-avait-laisse-conduire-son-ami…

video

Haute-Saône : le chauffard force le barrage et renverse un gendarme

Publié le 18/01/2015

Ce dimanche, vers 4h30 du matin, lors d’un contrôle d’alcoolémie à Vaivre-et-Montoille (Haute-Saône), ce conducteur a foncé délibérément sur un gendarme de Brigade motorisée de Vesoul, avant de prendre la fuite.


Souffrant de multiples fractures, le militaire a été pris en charge par les secours et évacué vers le centre hospitalier de Vesoul, rapporte le site de "L’Est Républicain". Ses jours ne sont toutefois pas en danger.

 

Deux hommes, âgés de 22 et 36 ans se sont présentés d’eux-mêmes à la gendarmerie, quelques heures après l’accident. Ils ont été placés en garde à vue. Le plus jeune, non titulaire du permis, a indiqué qu’il était au volant au moment des faits. Le trentenaire a été contrôlé positif à l’alcool et aux stupéfiants.

 

L’enquête ouverte par la gendarmerie va devoir établir qui était réellement au volant au moment de l’agression du militaire, précise "L’Est Républicain".

 

(Photo illustration © Tian)

Tuées sur la route entre Montpellier et Palavas : le chauffard remis en liberté

PALAVAS , Publié le 18/01/2015

Les familles des deux jeunes femmes mortes le 8 août sont partagées entre colère et tristesse après le couac de la justice. Le chauffard qui les a percutées est sorti de prison depuis le 10 décembre sans qu'elles en soient informées ! 

"Je suis en colère. Je ne parle pas de vengeance, je fais confiance à la justice, mais je suis très, très en colère. J'ai perdu ma fille et le chauffard est dehors..." Le Montpelliérain Hassan Bouyahia a des sanglots dans la voix lorsqu'il évoque la mémoire de Boutaïna. Son bourreau a été libéré à la suite d'une décision de justice taxée de "bévue" par les parties civiles. Un accident dans des circonstances tragiques Dans la trop longue liste des accidents mortels, les circonstances dans lesquelles sa fille de 19 ans a été tuée, le 8...

Midi libre - YANICK PHILIPPONNAT

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